Le livre viens de sortir. Ce sera, à ne point en douter, le best sellers de l'été. au milieu des Barbara Cartland, des collection Arlequins et autres roman à l'eau de rose, il y a le livre politique sur Mme Royal, écrit à partir d'entrevue qu'elle a donné à deux journalistes Christine Courcol et Thierry Masure. Un beau concentré pour un livre qui viens encore une fois ternir l'image de la politique. On le savait avant qu'elle soit désignée par les militants socialistes, on l'a mesuré tout au long de la campagne, mais personne n'aurais sans doute imaginé qu'elle agisse de cette façon. Instrumentaliser ainsi sa vie privée relève la bêtise à l'état pur.

Madame Royal n'est définitivement pas une grande politique. Elle n'est certes pa sla première à se couvrir ainsi de ridicule, ni malheureusement la dernière, mais c'est la prmière fois que cela a influé autant sur les résultats d'une élections. J'ai franchement l'impression que les personnes qui lui ont fait confiance sont doublement floués. Floués parce qu'ils n'aurait peut être pas imaginé que Mme Royal ait si pu de respect pour ses compagnons socialistes, son compagnon - père de ses enfants - et surtout si pu de respect pour ses électeurs. Les personnes qui ont voté pour Mme Royal et l'idéal - à défaut des idées - qu'elle défendait mérite mieux que cette étalage de venin et ces réglements de compte de bas étage.

Les coulisses d'une défaite viens donc renforcer les propos du livre d'Eric Besson : Qui connaît Mme Royal ?